
La sécurité des pistes cyclables s’impose aujourd’hui comme une priorité pour toutes les municipalités désireuses de développer l’usage du vélo. Les aménagements urbains sont repensés pour garantir un sentiment de protection aux usagers, une réelle sécurité et ainsi encourager cette mobilité douce.
Les cyclistes attendent une réelle sécurité des aménagements urbains pour leurs trajets quotidiens. Les autorités locales ont la possibilité de répondre à ces attentes en adoptant des solutions innovantes et pérennes.
C’est un fait bien établi par diverses études, le manque de protection physique des pistes cyclables, en particulier aux intersections, est un frein majeur au développement et la pratique du vélo.
La peur des accidents dissuade un grand nombre d’utilisateurs potentiels.
Les bornes fixes sont une solution durable et efficace pour protéger les passages cyclables. Elles créent une séparation physique entre les flux de circulation et garantissent ainsi la sécurité des cyclistes. CITINNOV propose des solutions flexibles, évolutives et personnalisables pour répondre à tous les besoins de protection.
En sécurisant les pistes cyclables, les villes améliorent le partage de l'espace public et encouragent un moyen de transport écologique. Le développement du vélo en ville devient une réalité, offrant des bénéfices pour la santé des citoyens et pour l'environnement.
Les solutions de sécurisation physique avec des bornes fixes qui peuvent être lumineuses, représentent la réponse la plus efficace pour pallier les insuffisances des aménagements existants.
En mettant en place des dispositifs de protection solides et permanents, les villes peuvent garantir une réelle séparation entre les cyclistes et les véhicules motorisés. CITINNOV propose des solutions qui répondent directement aux besoins des collectivités.
La solution est de bâtir de véritables infrastructures de protection qui sanctuarisent l'espace cyclable.
L'îlot de sûreté est une zone surélevée ou matérialisée au centre de l'intersection. Il peut être composé d'un terre-plein, d'une surface colorée ou de pavés, clairement délimitée par rapport à la chaussée.
Son rôle principal est de servir d'espace d'attente sécurisé. Les cyclistes et les piétons peuvent s'y arrêter pour évaluer la situation et, le cas échéant, attendre un feu vert. Cet aménagement réduit l'anxiété et la probabilité d'accidents en fractionnant la traversée.
Positionnées à l'entrée et à la sortie des voies cyclables qui mènent à l'intersection, les différentes bornes fixes créent une barrière physique empêchant les véhicules de pénétrer dans l'espace réservé aux vélos et aux piétons. Elles garantissent une séparation claire des flux de circulation, ce qui est essentiel pour la sécurité.
Ensemble, l'îlot central et les bornes périphériques créent un exemple concret d'urbanisme durable et d'une approche proactive de la sécurité routière pour encourager la mobilité douce par la protection des cyclistes.
Les bandes d'arrêt avancées, aussi appelées "sas cyclistes", offrent aux vélos un espace réservé devant les véhicules motorisés aux feux de signalisation.
Cependant, cet espace peut être empiété par les voitures et les motos lorsqu’il se situe à l’extrémité d’une piste cyclable. L'installation de bornes fixes en bordure de ces sas cyclistes est une solution simple et efficace pour les sécuriser. Ces bornes créent une barrière physique filtrante pour les cyclistes, elles empêchent l'accès illégal des véhicules, garantissant que l'espace reste libre pour les cyclistes.
Ces aménagements renforcent la sécurité des cyclistes aux intersections et contribuent à un meilleur partage de l'espace public, encourageant ainsi le développement du vélo en ville.

Les bornes fixes sont utilisées pour canaliser le trafic et garantir un accès exclusif aux vélos ou aux piétons. Elles ont cet avantage de filtrage. Elles protègent l’espace des véhicules en le laissant ouvert aux autres flux.
Pour mieux comprendre les bénéfices des bornes fixes, comparons-les à d'autres types d'aménagements.
L’investissement dans des bornes fixes est rapidement rentabilisé par la réduction des accidents et l’augmentation de l’usage du vélo. C'est une solution pérenne qui s'inscrit dans une logique d'infrastructures cyclables sécurisées pour des décennies. L’utilisation de bornes fixes pour pistes cyclables assure aux usagers qu'ils sont protégés de manière optimale.
La protection des cyclistes doit être une priorité, et cela passe par des aménagements qui ne laissent aucune place à la prise de risque.
Les réseaux de pistes cyclables se sont développés de manière exponentielle en France, et selon le rapport de l’Observatoire du Vélo de 2022, 63% des Français ont l’intention d’utiliser davantage leur vélo.
Cependant, la perception de l’insécurité demeure un frein. Les aménagements existants manquent souvent de cohérence, rendant la cohabitation avec les véhicules motorisés périlleuse. Ce manque de sécurisation des cyclistes en ville est un sujet de préoccupation, qui nécessite des solutions pérennes pour garantir la continuité des trajets.
Le développement des infrastructures cyclables ne peut être envisagé sans un investissement dans la sécurisation des points sensibles pour les usagers.
Les intersections sont, par nature, des points de rencontre entre différents flux de circulation. Pour les cyclistes, cela se traduit par un risque important d’accidents. Les pistes cyclables peuvent s’y interrompre, laissant les vélos se retrouver en contact direct avec les voitures et les poids lourds. Cette absence de protection physique à des endroits fondamentaux génère du stress.
Un partage de l'espace public efficace repose sur une séparation claire et sans compromis.
Les passages cyclables sur route, souvent signalés par un simple marquage au sol, n'offrent pas une protection suffisante. Ils sont régulièrement empiétés par des véhicules, et le non-respect de la signalisation par les automobilistes est monnaie courante.
Des études montrent que la part modale du vélo progresse rapidement dans les villes qui investissent dans des pistes cyclables sécurisées, bien séparées de la chaussée. À l’inverse, dans les agglomérations qui se contentent de peinture au sol, les progrès sont beaucoup plus lents.
Une piste cyclable ne devrait jamais se transformer en une zone de danger potentiel à son point de jonction avec la chaussée. C’est à cet endroit précis que les villes doivent concentrer leurs efforts pour assurer la fluidité et la sécurité.
L'insécurité perçue est un obstacle majeur pour inciter de nouveaux usagers à opter pour le vélo. Un trajet qui inclut des sections dangereuses est irréalisable pour de nombreux cyclistes.
La peur des accidents de vélos est un facteur de dissuasion, en particulier pour les familles et les personnes âgées. C’est la raison pour laquelle les maires et les urbanistes cherchent à sécuriser les intersections et les passages, afin de rendre cette mobilité plus accessible.
Mobilité douce et sécurité sont indissociables pour que le vélo devienne une alternative crédible à la voiture pour les trajets du quotidien.
CITINNOV réalise des protections pour les cyclistes et les piétons dans des plans d’aménagement urbain.
À Vannes, les bornes SUMO-AB sont relevées pour les week-end, la saison estivale et les événements festifs dans la zone Billault. Cette requalification d’une zone accidentogène à fort potentiel de conflits entre usagers offre une circulation apaisée entre le centre ville historique et le port. L’équipement CITINNOV a redonné une liaison importante qui n’existait plus depuis des décennies sur cet itinéraire.
C’est une zone de rencontre dans laquelle les piétons sont prioritaires et la circulation des vélos est autorisée dans les deux sens.
Compiègne a mis en place des équipements de sécurité pour les vélos comme des SAS Vélo et Cédez-le-Passage au feu pour réduire les accidents liés à l’autorisation pour les cyclistes de tourner à droite au feu rouge et canaliser la pratique cycliste.
La sécurisation des traversées par une signalisation routière et une signalisation au sol, permettant de visualiser sur l’espace commun, le trajet des vélos.

À Chambéry, suite à l’équipement par des bornes CITINNOV et l’instauration de plans de circulation et de zones réservées, le totem du Parc du Verney comptabilise le passage des vélos pour inciter à la pratique cycliste et à la mobilité douce. Il s’arrête de compter à 600 000 passages. En 2021, il a fallu 362 jours pour atteindre ce chiffre, 303 en 2022 et seulement 275 jours en 2023.
Le centre-ville historique de la ville de Fougères et ses rues étroites est passée à une circulation réduite à 20 km/H pour tout véhicule. La priorité à droite est de rigueur sur l’ensemble de la voirie. Les rues à sens unique sont empruntées à double sens par les vélos. Les piétons sont bien entendu prioritaires sur l’ensemble de ces voies. L’ensemble de ces mesures contribue à apaiser la circulation sans proscrire la voiture. CITINNOV a équipé les abords de ces segments de voirie de bornes fixes et escamotables.
Ces exemples illustrent comment des municipalités répondent à la question “Comment sécuriser les passages vélos en ville ?”.
Les bornes créent une barrière visuelle et physique, obligeant les véhicules à modifier leur trajectoire, à réduire leur vitesse et à respecter les espaces dédiés aux cyclistes et aux piétons.
Un système de supervision centralisé comme VIASYST’M de CITINNOV peut même permettre aux autorités de gérer l’ensemble du réseau d'accès depuis un poste unique, optimisant ainsi la sécurité et la fluidité des aménagements.
Les villes qui adoptent cette approche démontrent leur engagement à construire un avenir plus sûr et plus vert, où le vélo joue pleinement son rôle. L'intégration de ces solutions dans les plans d'aménagement urbain est un pas en avant vers la démocratisation du vélo.
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Pourquoi sécuriser les intersections des pistes cyclables ?
Parce que ces zones concentrent la majorité des accidents impliquant des cyclistes et des véhicules motorisés.
Quel est l’intérêt d’installer des bornes fixes sur les pistes cyclables ?
Elles empêchent les intrusions automobiles, protègent les passages vélo et renforcent la continuité des itinéraires.
Comment les bornes fixes améliorent-elles la sécurité des cyclistes ?
Elles matérialisent clairement l’espace réservé au vélo et réduisent les comportements dangereux des automobilistes.
Quels types de bornes fixes propose CITINNOV pour les pistes cyclables ?
Des bornes de protection, de sécurité et aussi de défense antibélier, conçues pour s’intégrer aux aménagements urbains existants et protéger efficacement les cyclistes.
Les bornes fixes peuvent-elles être combinées avec d’autres équipements ?
Oui, elles s’associent avec des totems de contrôle d’accès et des logiciels de supervision pour un réseau cyclable sécurisé.
Comment les collectivités financent-elles ces infrastructures ?
Grâce aux budgets d’aménagement urbain, aux plans vélo nationaux et aux subventions dédiées à la mobilité douce.
Les bornes fixes gênent-elles la circulation des piétons ?
Non, elles sont conçues pour laisser passer piétons et vélos, tout en bloquant uniquement les véhicules motorisés.
Où installer en priorité des bornes fixes pour protéger les cyclistes ?
Aux intersections, aux passages stratégiques et dans les zones où les intrusions motorisées sont fréquentes.
Les bornes fixes participent-elles à l’urbanisme durable ?
Oui, elles favorisent le partage de l’espace public et sécurisent la mobilité douce sur le long terme.
Quels bénéfices concrets les villes constatent-elles après installation ?
Une réduction des accidents, une augmentation de l’usage du vélo et une meilleure cohabitation entre usagers.
Image à la Une : Bornes fixes de protection de piste cyclable - source CITINNOV